Durée du spectacle : 1h15
Participation : 15 euros
Mise en scène : Jeanne Béziers
Interprétation : Pierre Béziers
Décor & costumes de Christian Burle.
Lumière de Jérémie Hutin
Diffusion et administration : Philippe Venturino
Mémoires anachroniques d’un tyran fainéant qui s’en remet pour tout à son ministre Baga. Du lever du roi en pantoufles de cygne, à la guerre du Chanchèze (région fameuse pour ses rats), en passant par le souvenir flou de son couronnement pluvieux. Derrière la farce pointe la question existentielle : a-t-on un pouvoir sur les choses, sur les autres, sur soi-même ?
«Je suis roi, roi de moi, roi de ma crasse». L’acteur, roi du théâtre pour une heure, défend cette cause essentielle en une performance minimale et jubilatoire.
La presse à la sortie du roman (1958)
- Extravagant et familier, avec de la bonne humeur jusque dans le désespoir vaseux. (Arts)
- Pinget triomphe dans l'inattendu (Combat)
- Déroutant, au sens le plus fort de ce mot, avec une tendresse évidente pour les choses et les gens (L’Express)
- Subtil et drôle. (Paris-Normandie)
- Récit d’une drôlerie surprenante (Claude Mauriac, Le Figaro)
***
" Voilà cette histoire je n’y comprends rien, c’est quelqu’un qui m’a dit tu devrais la raconter, je ne me souviens plus qui, peut-être moi, je mélange tout le monde" (Robert Pinget, Mahu).
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Participation : 15 euros
Mise en scène : Jeanne Béziers
Interprétation : Pierre Béziers
Décor & costumes de Christian Burle.
Lumière de Jérémie Hutin
Diffusion et administration : Philippe Venturino
Mémoires anachroniques d’un tyran fainéant qui s’en remet pour tout à son ministre Baga. Du lever du roi en pantoufles de cygne, à la guerre du Chanchèze (région fameuse pour ses rats), en passant par le souvenir flou de son couronnement pluvieux. Derrière la farce pointe la question existentielle : a-t-on un pouvoir sur les choses, sur les autres, sur soi-même ?
«Je suis roi, roi de moi, roi de ma crasse». L’acteur, roi du théâtre pour une heure, défend cette cause essentielle en une performance minimale et jubilatoire.
La presse à la sortie du roman (1958)
- Extravagant et familier, avec de la bonne humeur jusque dans le désespoir vaseux. (Arts)
- Pinget triomphe dans l'inattendu (Combat)
- Déroutant, au sens le plus fort de ce mot, avec une tendresse évidente pour les choses et les gens (L’Express)
- Subtil et drôle. (Paris-Normandie)
- Récit d’une drôlerie surprenante (Claude Mauriac, Le Figaro)
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" Voilà cette histoire je n’y comprends rien, c’est quelqu’un qui m’a dit tu devrais la raconter, je ne me souviens plus qui, peut-être moi, je mélange tout le monde" (Robert Pinget, Mahu).
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